Un projet vraisemblablement incomparable, conçu grosso modo pour permettre aux entreprises partout dans le monde ainsi qu'aux Etats (sans aucune distinction) d'acquérir sans cesse, dans un contexte qui rompt toutes les barrières, c'est-à-dire à l'abri du tumulte des rapports de force, des outils propres au développement auquel aspirent tous les peuples sans relâche...
1 - Préambule
2 - Le projet proprement dit
3 - Vers une option plus ou moins globaliste du projet
4 - Les remarques
1 - Préambule
Heurter les vieilles habitudes pour susciter le changement, tel est le leitmotiv du projet " le viatique" qui pourrait donner lieu à une ONG dont la mise sur pied reposerait sur un site Internet auquel on devrait accéder en plusieurs langues, eu égard aux ambitions affichées.
L'une des acceptions du mot "viatique" étant "un moyen de réussir", il s'agit ici de créer un site Internet pouvant être dénommé www.viatique.com, lequel offrirait essentiellement aux internautes l'occasion de s'exprimer pour essayer, au travers des idées, d'aboutir à une espèce de plate-forme qui donnerait à l'homme en quête effrénée de bien-être, des atouts [chances ou moyens de réussir] considérables.
2 - Le projet proprement dit
Loin d'être la panacée, le projet "le viatique" se présente par-dessus tout comme un mécanisme qui contribuerait à promouvoir le bien-être, rationnellement et sans cesse, dans tous les pays du globe. Pour atteindre cet objectif ambitieux qui de surcroît n'a pas été probablement jusqu'aujourd'hui le thème d'une réflexion, les internautes pourront faire parade de leurs connaissances, savoir-faire, etc., au sujet de la gestion des municipalités et des entreprises ; en s'intéressant également aux questions scientifiques et technologiques, sans faire fi de l'économie ainsi que la politique qui vont très souvent de pair, mais qui, d'un certain point de vue, ont été source de plusieurs conflits. En un mot, le programme "le viatique" est axé sur les points suivants :
- Les municipalités ;
- Les entreprises ;
- La science et la technologie ;
- L'économie ;
- La politique.
A) En ce qui concerne les municipalités
Les membres du site, c'est-à-dire tous ceux qui s'y inscriront simplement en créant gratuitement un compte, pourront rédiger des articles critiques ou élogieux sur les réalisations, les projets et même la gestion d'une municipalité quelconque, ce qui manifestement inciterait les maires à plus de responsabilité dans leurs prises de décisions. Dans cette optique, on aboutirait à une sorte de journal des mairies qui donnerait à chacune d'elles la possibilité de s'inspirer des prouesses des autres dans un climat d'émulation.
B) Pour ce qui est des entreprises
N'étant pas le lieu de faire l'apologie des revendications syndicales, le site offrirait tout de même une page à ses membres pour scruter les établissements étatiques ou privés de toutes les tailles, y compris les multinationales en vue de la parution régulière d'un rapport quant à l'intérêt que ces entreprises accorderont en guise d'exemple à : l'embauche (la lutte contre le chômage) ; la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) ; le design, le marketing et la publicité ; le respect des normes de qualité et la recherche-développement. Sur ce dernier point qui pourtant n'est pas le moindre, la Direction du site aurait la latitude de prendre langue avec les dirigeants des établissements plus ou moins réfractaires aux innovations, dans divers secteurs, afin de les persuader, le cas échéant, de se soumettre au perfectionnement des produits de ces entreprises. Les membres du site qui seraient nantis d'un grand sens de créativité auraient l'obligation morale de concrétiser cette démarche en émettant tout d'abord, de manière individuelle ou collective, des avis sommaires sur les innovations qu'il serait nécessaire d'adopter à un moment donné. Etant donné que les modifications dont il est question seraient dans certains cas susceptibles d'être brevetées, le site se chargerait de conclure, en lieu et place de ses membres qui prendraient part aux travaux visés, des accords de principe avec les entreprises qui s'y intéresseraient, cela naturellement avant la publication des résultats. N'étant pas indispensable de disposer d'un équipement pour concevoir une machine ou bien réformer un dispositif quelconque, on dirait néanmoins qu'il sera possible de pallier toute carence éventuelle dans cette perspective, grâce aux accords prévus au sous-titre 3 [Vers une option plus ou moins globaliste du projet]. S'agissant des contributions sur le plan du design, le marketing et la publicité, le site donnerait à ses membres capables de se pencher sur ces thèmes, la possibilité, comme dans le cas précédent, de mettre leurs compétences au service de nombre de sociétés qu'ils pourront initialement prendre pour cibles. Compte tenu de tout ce qui précède, on peut affirmer que le projet "le viatique" sera utile non seulement aux établissements du secteur des services mais encore aux entreprises industrielles et commerciales ; et que, par ailleurs, il permettrait aux personnes de diverses catégories (étudiants, employés, retraités, etc.) de faire preuve de leurs aptitudes et connaissances.
Un comité sous la houlette de la Direction du site aurait la mission de préparer et de publier le rapport évoqué tout au début du paragraphe précédent en l'assortissant des indices qui seraient attribués aux entreprises selon les efforts que celles-ci produiraient à titre de rappel en ce qui concerne : l'embauche, la RSE, l'amélioration de la qualité des produits et services, etc. A la faveur de ces indices, on parviendrait à établir secteur par secteur un classement des entreprises à l'échelle internationale et, si nécessaire, en fonction de chaque pays. En fin de compte, il est à croire que les classements envisagés seraient de nature à accroître la compétitivité des entreprises.
En présentant méthodiquement aux internautes les découvertes et les inventions les plus marquantes, le site serait également ouvert à ses membres pour leur donner la possibilité d'entrer en contact avec un comité qui leur apporterait des interprétations sur certains phénomènes naturels ou autres faits qu'ils auraient au demeurant l'agréable surprise de découvrir. De grandes découvertes pouvant procéder de cette démarche, il importe de préciser que le mérite des résultats escomptés sera partagé dans tous les cas avec les membres qui saisiraient le comité ici concerné.
Les contributions des membres compétents en la matière seront très attendues non seulement pour décrypter l'actualité mais encore afin d'analyser le boom et, à l'inverse, la faillite des entreprises, sans faire abstraction des politiques économiques et monétaires des Etats comme de quelques institutions, à l'effet de prévenir éventuellement les crises.
Il suffirait de susciter le débat contradictoire en vue de dénouer certaines questions de l'actualité ; et, en outre, pour arracher le voile sur plusieurs foyers de crise latents.
En vue d'atteindre les objectifs qui s'imposeraient quotidiennement, les membres du site qu'il convient de créer devraient dans certains cas être mis à contribution pour travailler en groupes, à la rigueur, en fonction de leurs lieux d'habitation et leurs spécialités (l'électronique, la biologie, l'archéologie, l'informatique, la médecine, la chimie, l'agronomie, la mécanique, etc.). Pris en bloc, le site vivement recommandé serait susceptible de faire office, de manière plus ou moins virtuelle, d'un Bureau d'études ou d'un Centre de recherche à vocation universaliste qui serait digne de bénéficier de plusieurs sources de financement. De plus, de par sa vocation, cette institution se caractériserait premièrement par un important groupe de "chercheurs" pouvant s'étendre dans tous les pays ; et ensuite par la capacité de satisfaire, dans tous les domaines, à l'exception de celui de l'armement, aux demandes des personnes physiques ou morales voire des autorités gouvernementales, tout en ayant la faculté de déterminer et de mener ses propres programmes. Cette fonctionnalité nécessitant visiblement beaucoup de minutie notamment à propos de la répartition des tâches et responsabilités devant incomber aux membres "chercheurs" du site, lesquels au passage pourraient être choisis dans certains cas par cooptation, il y a lieu de faire remarquer qu'il sera ultérieurement annexé à la présente étude un code encore en préparation qui aborderait, entre autres, l'éventualité de nouer des accords à seule fin de permettre théoriquement que dans presque tous les pays les équipements de bon nombre de laboratoires et d'usines - pour ne citer que ces cas - soient mis de temps en temps à la disposition des membres du site qui en éprouveraient légitimement le besoin.
Initiateur du projet : Philibert Mboum Un comité sous la houlette de la Direction du site aurait la mission de préparer et de publier le rapport évoqué tout au début du paragraphe précédent en l'assortissant des indices qui seraient attribués aux entreprises selon les efforts que celles-ci produiraient à titre de rappel en ce qui concerne : l'embauche, la RSE, l'amélioration de la qualité des produits et services, etc. A la faveur de ces indices, on parviendrait à établir secteur par secteur un classement des entreprises à l'échelle internationale et, si nécessaire, en fonction de chaque pays. En fin de compte, il est à croire que les classements envisagés seraient de nature à accroître la compétitivité des entreprises.
C) Dans le domaine de la science et la technologie
D) S'agissant de l'économie
Les contributions des membres compétents en la matière seront très attendues non seulement pour décrypter l'actualité mais encore afin d'analyser le boom et, à l'inverse, la faillite des entreprises, sans faire abstraction des politiques économiques et monétaires des Etats comme de quelques institutions, à l'effet de prévenir éventuellement les crises.
E) Quant à la politique
Il suffirait de susciter le débat contradictoire en vue de dénouer certaines questions de l'actualité ; et, en outre, pour arracher le voile sur plusieurs foyers de crise latents.
3 - Vers une option plus ou moins globaliste du projet
En vue d'atteindre les objectifs qui s'imposeraient quotidiennement, les membres du site qu'il convient de créer devraient dans certains cas être mis à contribution pour travailler en groupes, à la rigueur, en fonction de leurs lieux d'habitation et leurs spécialités (l'électronique, la biologie, l'archéologie, l'informatique, la médecine, la chimie, l'agronomie, la mécanique, etc.). Pris en bloc, le site vivement recommandé serait susceptible de faire office, de manière plus ou moins virtuelle, d'un Bureau d'études ou d'un Centre de recherche à vocation universaliste qui serait digne de bénéficier de plusieurs sources de financement. De plus, de par sa vocation, cette institution se caractériserait premièrement par un important groupe de "chercheurs" pouvant s'étendre dans tous les pays ; et ensuite par la capacité de satisfaire, dans tous les domaines, à l'exception de celui de l'armement, aux demandes des personnes physiques ou morales voire des autorités gouvernementales, tout en ayant la faculté de déterminer et de mener ses propres programmes. Cette fonctionnalité nécessitant visiblement beaucoup de minutie notamment à propos de la répartition des tâches et responsabilités devant incomber aux membres "chercheurs" du site, lesquels au passage pourraient être choisis dans certains cas par cooptation, il y a lieu de faire remarquer qu'il sera ultérieurement annexé à la présente étude un code encore en préparation qui aborderait, entre autres, l'éventualité de nouer des accords à seule fin de permettre théoriquement que dans presque tous les pays les équipements de bon nombre de laboratoires et d'usines - pour ne citer que ces cas - soient mis de temps en temps à la disposition des membres du site qui en éprouveraient légitimement le besoin.
4 - Les remarques
Internet étant propice à l'exécution du programme "le viatique", il s'avère cependant que la création d'un journal garantirait entièrement ou partiellement le relais des informations qui seraient publiées sur le site préconisé. Sur ce, il convient sans doute de souligner d'emblée que ce projet favoriserait l'amélioration des conditions de vie dans divers milieux, y compris les entreprises qui se plieraient aux dispositions de la RSE, lesquelles font valoir, au profit des individus, les considérations sociales, économiques et environnementales. Par ailleurs, en prônant la créativité pour rendre les entreprises plus compétitives, on parviendrait par ricochet à promouvoir l'essor de l'industrie et du commerce, par des produits et services de qualité indéniable. Comme suite logique, il sera possible de contribuer de cette manière à l'amélioration de la qualité de vie dans n'importe quel pays, dans un contexte de paix et de croissance pouvant être impulsé ou renforcé à la faveur des articles qui seraient rédigés au chapitre de la politique et l'économie. S'agissant de la science et la technologie, on dirait en substance que les "chercheurs" qui seraient disséminés aux quatre coins de la planète feraient de la présente initiative un moyen d'embrasser tous azimuts la recherche, afin d'apporter, dans la mesure du possible, des solutions à nos multiples préoccupations qui du reste ne sont pas toujours identiques d'un point à un autre. Cette option tendrait, d'un certain point de vue, à combler les lacunes des Etats qui parfois affichent beaucoup d'indifférence vis-à-vis de certaines questions. Bref, parlant de cette indifférence, il serait peut-être indiqué de faire simplement allusion aux fouilles archéologiques qui ont été faites jusqu'à présent, dans plusieurs pays, par des Instituts non-étatiques et pire sur proposition de ceux-ci. En principe, on ne gagnerait pas à ce que les fouilles archéologiques de tout genre soient prioritaires dans le cadre de cette étude, contrairement aux recherches qui relèveraient des questions sensibles comme la santé. Qu'à cela ne tienne, les Etats tout comme les personnes physiques et morales pourraient largement tirer profit du projet "le viatique" qui reposerait sur les connaissances plus que diverses et immenses de l'armée de "chercheurs" qui s'y attelleraient. Sur la même lancée, il est sans doute opportun de faire remarquer que l'on pourra tabler sur des synergies jamais produites, grâce aux connaissances mises en relief, pour peu qu'elles soient combinées et mises à profit à bon escient, c'est-à-dire grosso modo en conformité du code devant être adjoint plus tard à cette réflexion. Tout compte fait, ce programme digne d'être comparé à plusieurs égards à un Institut au service de tous les peuples, bâtirait, au fil du temps, un patrimoine considérable qui logiquement ne devrait nullement être la propriété d'un Etat. Aussi pourrait-on penser qu'à défaut d'être exploité pour la mise sur pied d'une ONG qui visiblement serait en partie capable de s'autofinancer, cet exposé mériterait de subir, au besoin, des modifications en vue de la création, dans le Système des Nations Unies, d'un organisme qui œuvrerait très concrètement pour le bien-être des hommes. Dans cette optique, un statut particulier devra être accordé à tous ceux qui s'engageraient à faire marcher l'organisme dont il est question, d'autant qu'il serait incongru de les considérer comme des bénévoles ou à l'inverse comme des salariés à proprement parler, en prétextant pour le moins leur nombre qui probablement croîtrait continuellement.
Internet étant propice à l'exécution du programme "le viatique", il s'avère cependant que la création d'un journal garantirait entièrement ou partiellement le relais des informations qui seraient publiées sur le site préconisé. Sur ce, il convient sans doute de souligner d'emblée que ce projet favoriserait l'amélioration des conditions de vie dans divers milieux, y compris les entreprises qui se plieraient aux dispositions de la RSE, lesquelles font valoir, au profit des individus, les considérations sociales, économiques et environnementales. Par ailleurs, en prônant la créativité pour rendre les entreprises plus compétitives, on parviendrait par ricochet à promouvoir l'essor de l'industrie et du commerce, par des produits et services de qualité indéniable. Comme suite logique, il sera possible de contribuer de cette manière à l'amélioration de la qualité de vie dans n'importe quel pays, dans un contexte de paix et de croissance pouvant être impulsé ou renforcé à la faveur des articles qui seraient rédigés au chapitre de la politique et l'économie. S'agissant de la science et la technologie, on dirait en substance que les "chercheurs" qui seraient disséminés aux quatre coins de la planète feraient de la présente initiative un moyen d'embrasser tous azimuts la recherche, afin d'apporter, dans la mesure du possible, des solutions à nos multiples préoccupations qui du reste ne sont pas toujours identiques d'un point à un autre. Cette option tendrait, d'un certain point de vue, à combler les lacunes des Etats qui parfois affichent beaucoup d'indifférence vis-à-vis de certaines questions. Bref, parlant de cette indifférence, il serait peut-être indiqué de faire simplement allusion aux fouilles archéologiques qui ont été faites jusqu'à présent, dans plusieurs pays, par des Instituts non-étatiques et pire sur proposition de ceux-ci. En principe, on ne gagnerait pas à ce que les fouilles archéologiques de tout genre soient prioritaires dans le cadre de cette étude, contrairement aux recherches qui relèveraient des questions sensibles comme la santé. Qu'à cela ne tienne, les Etats tout comme les personnes physiques et morales pourraient largement tirer profit du projet "le viatique" qui reposerait sur les connaissances plus que diverses et immenses de l'armée de "chercheurs" qui s'y attelleraient. Sur la même lancée, il est sans doute opportun de faire remarquer que l'on pourra tabler sur des synergies jamais produites, grâce aux connaissances mises en relief, pour peu qu'elles soient combinées et mises à profit à bon escient, c'est-à-dire grosso modo en conformité du code devant être adjoint plus tard à cette réflexion. Tout compte fait, ce programme digne d'être comparé à plusieurs égards à un Institut au service de tous les peuples, bâtirait, au fil du temps, un patrimoine considérable qui logiquement ne devrait nullement être la propriété d'un Etat. Aussi pourrait-on penser qu'à défaut d'être exploité pour la mise sur pied d'une ONG qui visiblement serait en partie capable de s'autofinancer, cet exposé mériterait de subir, au besoin, des modifications en vue de la création, dans le Système des Nations Unies, d'un organisme qui œuvrerait très concrètement pour le bien-être des hommes. Dans cette optique, un statut particulier devra être accordé à tous ceux qui s'engageraient à faire marcher l'organisme dont il est question, d'autant qu'il serait incongru de les considérer comme des bénévoles ou à l'inverse comme des salariés à proprement parler, en prétextant pour le moins leur nombre qui probablement croîtrait continuellement.
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